Pas d’amalgame entre réfugiés et terroristes

Ne tombons pas dans le piège de l’amalgame !

« Même s’il a été établi que l’un des kamikazes du Stade de France s’est glissé parmi les migrants pour entrer en Europe, via l’île grecque de Léros, Ammar ne craint pas que les Français fassent l’amalgame entre réfugiés et terroristes.

« Sur le bateau, avec moi, il n’y avait que des familles qui fuyaient la guerre, des femmes, des enfants… », précise-t-il. Lui et ses proches restent sereins. « La France m’a tout donné, des papiers, un toit pour vivre, nous sommes reconnaissants », insiste-t-il. « Nous n’avons pas peur des Français. Nous avons peur pour les Français », conclut sa mère, Rajaa. »

Telle est la conclusion de l’article de Stéphane Loignon paru dans Le Parisien du 20/11/2015.

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